Facteurs d’excellence

Un vrai professionnel obéit à une raison supérieure, il poursuit un certain idéal qui le motive, qui le pousse à réaliser tout son potentiel, à dépasser la médiocrité pour atteindre l’excellence.

La motivation

Telle est la vraie joie de vivre : servir une cause… être une force de la nature, plutôt qu’une poule mouillée souffreteuse et fébrile, toujours en train de se plaindre, ne pensant qu’à elle-même, et reprochant au monde entier de ne pas être à ses petits soins. Je considère que ma vie appartient à la cause commune et que, tant que je vis, c’est pour moi un privilège de faire de mon mieux pour la servir.

Lorsque je mourrai, je veux avoir tout donné de ma personne. Pour moi la vie n’est pas comme la lumière éphémère d’une chandelle, mais comme celle d’une torche éclatante : je veux la tenir bien haut pour la faire briller de tout son éclat avant de la transmettre aux générations futures.

— George Bernard Shaw

La préparation

Les accomplissements spectaculaires sont toujours précédés d’une préparation qui l’est beaucoup moins. — Roger Staubach

Une certaine façon de voir l’échec

Ce n’est pas l’échec que je crains, mais seulement le ralentissement du moteur qui, au-dedans de moi, ne cesse de me dire : « Vas-y, continue, quelqu’un doit gravir le sommet, pourquoi pas toi ? »

— George S. Patton

Le sens du défi

C’est dans sa réaction face au défi, et dans la controverse, que l’on prend la vraie mesure d’un homme, et non pas quand il est confortable et qu’il a ses aises. — Martin Luther King, Jr.

La prise de risque

Pourquoi certains réussissent-ils alors que d’autres échouent ? Ce n’est pas toujours une question de talents ni d’idées. Bien souvent, ce qui fait la différence est le courage de mettre en œuvre ses propres idées, le courage de prendre des risques mesurés, et d’agir. — Maxwell Maltz

La passion

Mettez de la passion dans tout ce que vous faites, car c’est la passion qui alimente les machines qui transforment les rêves impossibles en réalité. — Steven K. Scott

Le courage

Dans la bataille de la vie, il y a ceux qui ont beau jeu de critiquer, ceux qui s’empressent de montrer du doigt l’homme fort qui trébuche ou l’homme d’action qui aurait pu mieux faire...

Mais ce n’est pas à ceux-là que revient l’honneur, c’est à celui qui combat dans l’arène, celui dont le visage est maculé de poussière, de sueur et de sang, celui qui se bat avec vaillance, celui qui se fourvoie et qui échoue à maintes reprises. Parce qu’il n’y a pas d’effort sans erreurs et sans défaillances.

Ce n’est pas à ceux qui critiquent que revient l’honneur mais c’est à celui qui s’efforce d’atteindre le but, celui qui connaît le grand enthousiasme, le dévouement absolu, celui qui se donne tout entier à une grande cause, celui qui, au mieux, finit par connaître le triomphe d’un grand accomplissement et qui, au pire, aura échoué en essayant avec noblesse.

De sorte que sa place ne sera jamais avec les âmes frigides et timorées qui ne connaissent ni la victoire ni la défaite. — Theodore Roosevelt

Traduction de l’anglais : Berniris

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